Généralités sur la psychiatrie
La psychiatrie est une branche de la médecine à la différence près que la souffrance n’est pas forcément visible et les troubles ne peuvent pas être mis en évidence par des examens concrets (ex : radio, examen de sang, etc.).
Pour identifier les troubles, on va chercher des repères que l’on va partager avec les autres et avec soi même.
Le rôle est donc de soigner et la difficulté est de savoir reconnaître la souffrance.
Le niveau de souffrance est aussi un objectif à déterminer (ex : boire un peu hors des fêtes, c’est différent de boire beaucoup tous les jours).
Ø Evaluer la souffrance,
Ø Gestion de la souffrance => oui ou non,
Ø Parler et faire parler le patient : investigation pour essayer de permettre au sujet de parler de lui. Les patients éprouvent parfois des difficultés à parler de leurs ressentiments (ALEXITHYMIE). Le patient peut parfois communiquer ce qu’il a « au fond de lui » et entraîner des pleurs, d’où la difficulté de trouver la limite,
Ø Intérêts de l’entourage qui est aussi souvent en souffrance : discuter, écouter l’entourage.
Exemple : je suis en colère, je suis content.
Garder son propre contrôle.
On aperçoit ses limites personnelles en fonction de son entourage (ex :on parle fort).
Le transfert : correspond à la projection de représentation (images) sur autrui. Il est caractérisé par des mouvements affectifs qui peuvent être positifs (si sentiments amicaux) ou négatifs (lorsqu’il existe une agressivité, une hostilité).
Le contre-transfert : désigne les effets de l’influence du soigné sur la sensibilité (inconsciente) du soignant.
C’est le noyau dur de la psychiatrie.
C’est un trouble mental présentant un délire et/ou une dissociation ou il y a :
Ø Une perte de contact avec la réalité,
Ø Une méconnaissance du trouble.
Empathie : notion entre sympathie et antipathie