Introduction Générale
Définition générale
L’anatomie physiologie est la partie de la biologie qui a pour objet d’étudier les fonctions et les propriétés des organes et des tissus des êtres vivants.
a- Les atomes et les molécules constituent : Le niveau chimique
b- La combinaison des molécules permet d’atteindre : Le niveau cellulaire
c- Des groupes de cellules semblables + liquide intercellulaire : Le niveau tissulaire
d- La jonction de plusieurs type de tissus : Le niveau organique
e- L’ensemble d’organes contribuant à la même fonction : Le niveau appareil (ou système)
f- L’interaction entre les systèmes constitue : L’organisme.
Il existe donc 5 niveaux d’organisation du plus simple au plus organisé qui à la façon de table gigogne forme l’organisme.
C’est un ensemble de processus complexes et incessants de transformation de matière et d’énergie par la cellule au cours de phénomènes d’édification (anabolisme) et de dégradation (catabolisme).
Autrement dit, même lorsque l’organisme est au repos (sommeil), il y a une dépense d’énergie (respiration, digestion,etc).
C’est l’aptitude de l’organisme à détecter les modifications (température, pression,…) et à réagir au milieu externe et interne.
Il comprend celui de tout le corps, celui d’organes individuels (estomac, poumon, cœur,…), de cellules isolées (cellules sanguines, cellules reprodutrices) et à l’intérieur de la cellule : les organites.
Elle correspond à une augmentation en taille et en complexité.
Elle conduit donc à une augmentation du nombre des cellules, de leur taille et de la quantité de matière entre les cellules.
C’est la transformation par laquelle des cellules non spécialisées deviennent spécialisées.
C’est une faculté d’adaptation aux modifications de l’environnement.
Le corps humain est composé de systèmes, appareils et organes constitués de million de cellules. Ces cellules ont besoin d’un milieu relativement stable (stabilité thermique, acido-basique, de pression) afin de fonctionner convenablement.
L’homéostasie est la tendance des êtres vivants à maintenir constant leurs paramètres biologiques face aux milieux externe et interne.
Ces paramètres peuvent être les suivants : température, pH, glycémie, tension artérielle,etc. L’homéostasie est réglée par le système nerveux végétatif (celui qu’on ne contrôle pas) et par les hormones secrétées par les glandes endocrines.Lorsque l’homéostasie est perturbée, la pathologie apparaît et la mort peut survenir.
Afin que les cellules vivent normalement, la composition des liquides à l’intérieur et à l’exterieur de la cellule doit être constamment et précisément maintenue.
C’est celui présent à l’intérieur des cellules.
NB : parmis les substances dissoutes dans les différents liquides se trouvent les élements suivants :
Ø Des gaz,
Ø Des nutriments,
Ø Des déchets,
Ø Des particules chargées électriquement : les ions.
Toutes ces substances sont nécessaires au maintient de la vie.
C’est un stimulus provoquant un déséquilibre du milieu interne. Ce stimulus est soit externe soit interne.
Ø Stimuli externes : le bruit, la chaleur, la température, le manque d’oxygène,
Ø Stimuli internes : la charge de travail, la peur, l’hypoglycémie, la douleur,etc.
Cependant, des stress extrêmes (intoxication, température très basse ou très forte) peuvent causer une défaillance grave.
La régulation de l’homéostasie est effectuée par les système nerveux et endocrinien.
Un système de rétroaction comprend 3 composants fondamentaux.
Il détermine le point (le lieu) où un paramètre (état contrôlé) doit être maintenu.
Exemples d’état contrôlé :
Le centre de régulation reçoit l’information sur la condition de l’état contrôlé (équilibre ou pas) puis détermine une réaction appropriée.
Il observe les changements dans l’état controlé et envoi les informations au centre de régulation.
Exemples de récepteurs :
Il reçoit du centre de régulation, l’information et produit une réaction ou un effet.
La réaction qui se produit est constamment surveillée par le récepteur et retournée au centre de régulation.
Si la réaction inverse le stimulus initial, on parle de rétroaction négative.
Si la réaction accroit le stimulus initial, on parle de rétroaction positive.
Schéma du mécanisme de rétroaction négative :